Regarder fréquemment de la pornographie n’est pas forcément lié à un trouble psychologique

Visionner fréquemment de la pornographie mène-t-il ou est-il associé à un problème de nature psychologique tels la détresse, la dépression, le trouble de l’humeur ou l’hypersexualité?

UdeM Nouvelles présente un résumé vulgarisé du nouvel article de Beáta Bőthe Ph.D. paru dans The Journal of Sexual Medicine.

Beáta est membre du CRIPCAS et stagiaire postdoctorale au Laboratoire d’étude de la santé sexuelle, codirigée par Sophie Bergeron Ph.D. (UdeM) et Marie-Pier Vaillancourt-Morel Ph.D. (UQTR).